Colloque « Sexualités de l’enfant et de l’adolescent : quoi de neuf ? » par les éditions érès

via les éditions érès, original ici.

Enfances & Psy propose d’explorer sous forme de débats ce qui émerge comme formes nouvelles de la sexualité des enfants et des adolescents et les nouvelles façons de penser ces questions.
Le colloque rassemblera des praticiens de terrain et des associations, des philosophes et des chercheurs pour aborder des notions de consentement, d’identité sexuée et de désir sexuel, de risques et d’éducation à la sexualité.

–  Revisiter le concept de sexualité et sa place dans le développement de l’enfant et de l’adolescent

– Définir la place du genre dans le développement de l’identité

– Eclairer la notion de consentement dans les relations sexuelles

– Comprendre les effets du numériques dans la découverte de la sexualité à l’adolescence (place de la pornographie, risque de prostitution, exposition de l’intime)

– Tenter de dégager des principes d’éducation sexuelle

Que dire à un enfant, à un ado…

Une intervention courte et synthétique d’une psychologue psychothérapeute pour aiguiller parents et adultes sur comment parler et que dire aux enfants et ados suite aux évènements violents à l’encontre d’un enseignant, vendredi dernier. Original ici.

Comment trouver les mots pour parler aux enfants et aux adolescents ?

Jusqu’à six ans, il faut « essayer au maximum que l’enfant ne soit pas en contact avec cette réalité puisqu’elle n’est pas gérable psychiquement« , explique Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne et psychothérapeute invitée sur le plateau du 13 Heures, samedi 17 octobre.

Entre 6 et 12 ans, « attendez de voir ce que l’enfant amène« , en fonction des informations qu’il a reçues.

Pour les adolescents, « on en parle, parce que c’est le monde dans lequel ils vont vivre demain« , précise-t-elle, en ajoutant qu’avec les réseaux sociaux, « ils ne peuvent pas ne pas savoir« . Pour éviter que cela ne devienne un traumatisme, « il faut aider l’adolescent à penser« , poursuit Marie-Estelle Dupont. Le parent le moins submergé par l’émotion doit être celui qui lui en parlera, car « l’enfant va plus s’identifier à votre état qu’à vos mots« . La psychothérapeute insiste également sur la nécessité de modérer les réseaux sociaux pour limiter l’impact des images.

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