« Le coaching individuel » paru dans le Nouvel Economiste

voir : www.lenouveleconomiste.fr-le-coaching-individuel

Extrait :

 » L’adaptabilité au changement n’étant pas un atout maîtrisé par chacun, dirigeants et cadres d’entreprise peuvent manifester le souhait d’être guidés dans leur transition vers une nouvelle situation professionnelle (promotion, licenciement, nouveau projet professionnel, etc.) afin de remédier à une rupture provisoire de leur équilibre. Agir sur le présent et avoir des perspectives constructives sur l’avenir sans pour autant scruter à la loupe les troubles émotionnels passés sépare d’ailleurs distinctement le coaching de la psychanalyse. Mais le coaching se distingue tout autant de la formation ou du conseil par l’éviction du transfert de connaissances techniques propres aux deux autres. Il revêt une dimension abstraite, non mesurable.

“On ne devient pas coach parce qu’on est expert et qu’on doit donner des conseils, le coach ne se substitue pas à son interlocuteur”, affirme Robert Zuili, cofondateur de la société Excelia, spécialisée dans le coaching et l’accompagnement de personnes dans leurs projets professionnels. Dans ce métier, c’est le camp humain qui s’attribue le premier rôle, il relègue au second plan le camp purement technique dans lequel se situe l’entreprise du coaché. “Les situations à enjeux se trouvent surtout au niveau du capital humain de l’entreprise, c’est pourquoi la mission d’un coach est d’enrichir la réflexion de son interlocuteur et d’élargir ses options en terme de prise de décisions touchant ses collaborateurs”, explique Robert Zuili. « 

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