« La Gestalt une philosophie clinique » par Noel Salathé

La Gestalt une philosophie clinique

SALATHÉ Noël

Noël Salathé situe la gestalt

par Philippe Grauer

En hommage à notre co-fondateur et doyen qui vient de disparaître à l’âge de 82 ans, nous faisons paraître ici le texte de sa communication au premier congrès francophone de la Société française de gestalt qui dressait le tableau historique du bilan et des perspectives de la gestalt-thérapie prenant son élan dans notre pays, un élan dont Noël Salathé fut un des impulseurs majeurs.

Sur le conseil éclairé du gestaltiste canadien Ernest Godin Noël Salathé de retour en Europe introduisit dans notre pays la pensée clinique existentialiste de Irvin Yalom, préludant à ce qui allait devenir la psychothérapie existentielle gestaltiste qu’il développa d’abord dans le cadre du Cifp. La partie de la communication consacrée aux contraintes existentielles est à l’époque totalement novatrice. On remarquera que la terminologie vacille entre contraintes et données, cela continue depuis trente ans.

L’importance de ce texte n’échappera pas au lecteur, ni le message que comporte le regret que le goût culturel d’amertume de l’existentialisme au lendemain de la guerre aux États-Unis ait prévenu la discipline de s’appeler psychothérapie existentielle. D’où Artex, et un certain « retour à Yalom » – qui mérite d’autant mieux sa paire de guillemets qu’il n’y eut pas d’aller.

suite de l’article cliquer ici : CIFPR

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